Après les scandales touchant bon nombre de constructeurs
comme le dieselgate, ou les airbags de Takata…nous voici
confronté avec une affaire d’un autre genre. Il s’agit d’une affaire qui touche
cette fois des experts automobile et des garagistes.
En gros elle consiste à remettre en circulation des voitures
qui ne sont plus en état de l’être.
La première affaire de ce genre remonte à deux ans plus tôt.
C’est-à-dire en 2015. Trois experts ont fait usage de faux qui leurs permit de
« remettre sur les routes » cinq mille véhicules qu’on appelle
des « épaves
roulantes ». Les trois experts sont encore en examen
actuellement mais, les propriétaires escroqués de ces voitures-épaves sont
traumatisés d’avoir échappé bel à un grave danger qui les menaçait chaque fois
qu’ils sont à l’intérieur de leurs voiture.
Pour cette première affaire en 2015, le ministère de
l’intérieur était obligé de rappelé 5000 voitures soupçonnées d’être des épaves roulantes
qui étaient en circulation. Mais il s’est avéré seul, 1100 l’étaient vraiment,
1600 étaient interdites de circuler car leurs propriétaires n’avaient pas
répondus au rappel.
La seconde affaire d’épaves roulantes surgit l’année
dernière, avec le cas d’un jeune de 22 ans. Il était mort en Essone à cause
d’une épave roulante Clio, mis en circulation par un expert de la région
parisienne. Ce dernier a écopé de quatre ans de prison : deux ans
fermes et deux ans en sursis.
Ensuite la version épaves roulantes 2017 concerne cette fois
un expert automobile de Val de Marne. Pour le moment, il est soupçonné d’avoir
mis en circulation un millier de voitures épaves. Un chiffre plus
précis donne 1024 voitures épaves à qui il a donné la permission de circuler
sans prendre la peine de vérifier qu’elles sont vraiment en état de rouler sans
aucun danger.
En fait ces affaires sont une complicité entre des
garagistes avec les experts chargé de les vérifier. Ces réparations sont
dangereuses pour les clients qui achètent les voitures ainsi réparées comme le
cas du jeune homme d’Essonne qui a perdu la vie. Ce qui a conduit le tribunal à
condamner cette affaire de « homicide
volontaire ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire