vendredi 27 avril 2018

Test positif de l'ADAC sur des voitures diesel


L’avenir du diesel est en suspens actuellement, et ce depuis quelques années de cela. Malgré les pressions que subit ce carburant (à cause de sa nocivité). Il y a encore quelques groupes qui y croient encore et essaient de le sauver par tous les moyens. C’est ainsi qu’une association d’automobilistes allemands appelés ADAC (Allgememiner Deutscher Automobil-Club) a fait un test sur les nouveaux modèles voitures diesel. Ces derniers suivent la norme européenne réputée être la plus propre.
 Il est logique de voir que ce sont les constructeurs automobiles qui sont les plus touchés  par le sort du diesel. Ils sont arrivés devant un croisement devant  lequel ils devront choisir entre abandonner complètement le diesel ou continuer dans cette direction, mais en apportant beaucoup d’amélioration. Ils peuvent aussi choisir des solutions alternatives comme la conversion vers la voiture essence, ou les voitures hybrides, les voitures électriques, etc.
Voici donc une occasion qui leur permet de remettre sur rail ce vieux carburant du temps des dinosaures (qui provient des dinosaures). C’est une occasion en or puisque l’ADAC est une association d’automobilistes, c'est-à-dire des utilisateurs et on connaît bien le désamour des clients vis-à-vis du diesel actuellement !
Pour en revenir au test effectué par l’ADAC, il semble que le résultat est plutôt en faveur du diesel. Il faut souligner que le test est effectué sur des voitures qui suivent la dernière norme européenne contre la pollution : Peugeot 308 HDI 180, BMW X2 xDrive 20d et  Volvo D5 AWD.
Ces voitures ont passé de nombreux tests d’homologation européenne et elles ont réussi à prouver que le diesel a encore une chance comme carburant dans les véhicules d’aujourd’hui.
Tout n’est pas encore gagné, car, comme nous le savons, il reste à régler la question de la dépollution maximum du diesel. Il faut donc renouveler complètement les véhicules (diesels) et les faire suivre les normes européennes contre la pollution (contre le NOx en particulier).
C’est la seule condition qui permettra au diesel de reprendre la route et de rouler côte à côte avec les autres voitures qui roulent  aux énergies nouvelles du troisième millénaire. 
Au cas où vous auriez raté notre dernier article, on y parle de la sécurité routière et des médecins généralistes.

vendredi 20 avril 2018

La sécurité routière et les médecins généralistes



La sécurité routière une un sujet qui fait couler beaucoup d’encre, parce qu’il fait couleur beaucoup de sang ; c’est évident !
C’est l’excès de vitesse qui est le premier accusé dans  la majorité des cas d’accident mortel.  La deuxième place est sûrement détenue par les mauvaises habitudes des conducteurs (conduite en état d’ivresse, téléphone au volant, non-respect des panneaux de signalisation, etc. Mais, il y a un facteur important qui ne peut être négligé, mais qu’on oublie plus ou moins volontairement : c’est l’état de fatigue du conducteur qui entraîne généralement sa somnolence au volant. Le poids de l’âge est littéralement très lourd qui doit être pris en compte par le conducteur lui-même, s’il en compte sur ses épaules plus de 70 ans !
Pour tout le monde, il n’y a pas de moyen précis pour mesurer la fatigue comme la mesure de la température : un climat froid pour les habitants de l’Équateur  ferait transpirer de chaleur les gens qui vivent dans les cercles polaires. Or, il y a un moyen de mesurer la température au moyen d’un thermomètre.
Ce n’est pas pour s’éloigner du sujet de l’article, mais cet exemple est fait pour vous faire savoir que la fatigue n’a pas de grandeur mesurable comme la température. Il y a donc des gens (des conducteurs en l’occurrence) qui ne sentent pas la fatigue les gagner, quand bien même ils savent  qu’ils manquent de sommeil ou qu’ils ont trop travaillé.
Et c’est là que les médecins généralistes devraient entrer en scène. Pour faciliter, voici le résultat d’un sondage effectué chez quelques-uns de ces professionnels de la santé. Ils  peuvent, en effet, « mesurer » l’état de « fatigue » de quelqu’un et affirmer s’il est en état de conduire ou non.
-          77% disent qu’ils ont un rôle important contre les accidents de la circulation.
-          42% pensent être responsables des accidents de la circulation causés par leurs patients qui n’ont pas été bien soignés
-          71% sentent qu’ils n’ont pas le droit de dire à leurs clients d’arrêter de conduire
dDonc, les médecins ont un rôle important dans la sécurité routière, dans la mesure où ils savent exactement, quand le conducteur n'est plus en mesure de conduire. 
SSachez qu'en matière d'écologie : on parle d'une association BMW, ENGIE et une nouvelle essence à 34%d'éthanol. On en a parlé dans notre dernier article.


jeudi 12 avril 2018

Écologie : association de BMW avec Engie et une nouvelle essence à 34% d’éthanol



La protection de l’environnement est d’actualité, c’est pourquoi on parlera de cette association de BMW avec Engie et de cette nouvelle essence à 34% d’éthanol dans cet article.

Premièrement, l’association de BMW et Engie, vise à développer la voiture électrique. Vous direz certainement que la voiture électrique ne date pas d’hier. C’est vrai, mais, cette fois, la source de courant utilisé pour le chargement provient de l’énergie renouvelable. Ce qui veut dire qu’il ne vient pas d’une centrale thermique ou pire, d’une centrale nucléaire qui pourrait polluer bien plus que les voitures diesel ou essence réunie.

Donc, en parlant d’énergie écologique, Engie, avec lequel BMW s’est associé, est un fournisseur d’énergie propre et le premier de ce genre en France. Comme il n’est pas encore possible de trouver sur toutes les routes une borne de recharge « écologique », c’est la société qui se charge d’acheter la quantité d’électricité équivalente au courant verte qu’il a consommé.

L’avantage du client dans ce système est qu’il ne paie que la moitié du carburant écologique, à condition de s’abonner à Engie Elec’Car pendant 3 ans. Ce sont les voitures électriques de BMW qui en profitent en plus de i3, les voitures hybrides rechargeables, et les scooters C Evolution.

Le deuxième moyen de préserver l’environnement est cette nouvelle essence avec un taux de 34% d’éthanol. Cette fois, il s’agit d’une association d’Audi avec une entreprise … française. L’avantage de ce nouveau carburant est évidemment d’être moins cher et de ne rejeter que très peu de CO2.

La première génération de ce type de carburant a débuté avec le sans-plomb 95. Puis en 2009, l’E10 se démarque avec un taux de 10% de Bioéthanol. Ce dernier est produit à partir des végétaux comme la betterave.
Mais pour la société Global Bioenergies (qui s’est uni avec Audi), la barre est encore plus haute avec cette essence dont le taux de bioéthanol dépasse 30%. Ce partenariat inclut aussi une usine de sucre qui peut produire 50 000 tonnes de carburant en une année. Et ça ne s’arrêtera pas là car le DG de l’entreprise qui s’est associé avec BMW envisage de s’étendre avec une dizaine d’usine similaire. 
Attention ! Ceci pourrait vous concerner : lisez notre dernier article qui dit que la voiture électrique sera plus accessible pour tout le monde en 2025.