Pour la première fois depuis l’affaire « Dieselgate », Volkswagen a fait un effort (apparemment sous la pression de l’Union Européen) pour réparer ses torts pour indemniser ses clients européens. Il s’agit d’une offre garantitsupplémentaire de 2 ans, mais concernant les éléments mécaniques qui sont touchés par la réparation relatif à la « Dieselgate ».
On répète encore que
la garantie ne concerne que la partie mécanique concerné par la réparation car il serait presque impossible d’étendre une
garantie totale sur les véhicules, touchés par l’affaire dieselgate, mise en circulation entre 2008 et
2015. La marque indique que la mise à la norme ne remet pas en cause la
durabilité de la voiture.
On pense que n’a fait qu’une petite partie de ce qu’il
aurait du faire, à savoir qu’il aurait du indemniser ses clients, financièrement, ou du
faire du reprisedes voitures comme c’était le cas aux Etats-Unis.
Volkswagen refuse l’indemnisation dans l’Europe pour la simple raison qu’il
pense qu’il n’y a pas eu de fraude dans la vieille continente.
Pourtant un collectif de 118 000 néerlandais a
entamé une procédure de poursuite contre la marque. Et en France, une information
judiciaire pour tromperie aggravée est en cours. Ces procès pourraient bien coûter des milliards
d’euros à Volkswagen.
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